Le Quatar était élu, en 2010, comme le pays chargé de l’organisation du Mondial 2022. Il a su donc défier les quatre autres pays candidats, dont l’Australie, la Corée du Sud, les états-Unis et le Japon. Toutefois, cette décision est actuellement soumise à  des contestations dues d’une part aux températures estivales sur place atteignant les 50°C et d’autre part la constatation des violations aux droits de l’Homme.

Une décision sujette aux critiques

Jusqu’à  présent, Quatar ne peut pas encore se réjouir du fait d’avoir été sélectionné comme pays d’hôte de la Coupe du monde de football 2022. La dernière sélection effectuée en 2012 est considérée comme un réel terrain de corruption avec la participation massive de Nicolas Sarkozy, selon le président de la FIFA, Joseph Blatter lors de l’interview pour Welt am Sonntag. Il a mis l’accent sur le fait que l’ancien président de l’état français a influencé le vote pour que le résultat soit ainsi. Or, selon Domenico Scala, membre de la FIFA, le Qatar et la Russie n’auraient plus leur place dans la coupe du Monde, si la corruption est confirmée. Les arrestations des dirigeants de la FIFA constituent une preuve irréfutable de l’ampleur de la corruption auprès de cette organisation.

Un petit pays pour de grands matchs

La sélection du Qatar comme pays organisateur de la Coupe du monde 2022 a eu lieu le 2 décembre 2010. Or, suite aux différentes polémiques, dont Qatar constitue le principal sujet, de nombreux pays recourent à  la réorganisation de la sélection. A noter que pour le Mondial 2018 que l’Angleterre souhaite recevoir, le résultat du vote veut que la chance sourit à  la Russie. Mais, nombreux sont ceux qui reprochent les résultats des deux votes d’être à  l’issue d’une réelle corruption auprès de la FIFA.

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